Après avoir découvert la faune locale au zoo, nous décidons de partir à sa recherche dans la nature : cap sur la jungle amazonienne !
Ayant quitté Santa Cruz, nous débarquons à La Paz en fin de journée, et nous mettons en quête d'un bus pour rejoindre Rurrenabaque, point de départ pour les aventures amazoniennes en Bolivie. Malheureusement, les bus pour cette destination ne partent pas de la gare centrale, et les départs ne se font qu'aux alentours de midi.
Nous faisons donc le tour des hôtels à proximité et nous installons pour la nuit.
Au matin, nous prenons un minibus pour Villa Fatima, quartier de La Paz où nous trouvons notre bonheur et réservons deux places dans le bus de 11h.
Ayant un peu de temps devant nous, nous allons nous promener dans le quartier et goûtons nos premiers Saltenias, drôles d'empanadas boliviens de forme triangulaire.
À 11h, pas de bus.
À 11h30, pas de bus, mais "il arrive".
À midi, le bus est là. Et le conducteur refuse de partir car il n'y a pas assez de passagers à son goût ! Pas assez rentable !
Du coup, nous sommes tous "revendus" à l'agence voisine dont le bus est aussi à moitié plein... et partons sur les coups de 12h30.
Pour atteindre notre destination, nous empruntons la "nouvelle route" car l'ancienne, renommée "Death Road", a été fermée au gros du trafic suite aux nombreux accidents qui s'y produisaient (200 à 300 morts par an). Nous reviendrons plus en détail sur cette route dans un prochain article.
Toujours est-il que la nouvelle route, plus sécure, nous fait vite froid dans le dos ! Éboulements gigantesques recouvrant la route, fossé dont on ne voit pas le fond, circulation inversée (on roule à gauche !?!?!), croisements et dépassements impossibles mais qu'il faut quand même subir quitte à faire 1km en marche arrière pour trouver le bon endroit...
Bref ! Un traumatisme psychologique profond, et il nous faut attendre l'arrivée de la nuit pour ne plus baliser à chaque seconde, et se servir de notre aveuglement pour tromper notre subconscient et lui faire croire que tout va bien, qu'on peut dormir.
Ça n'a pas marché.
On n'a pas bien dormi.
D'autant plus que la route, aux alentours de minuit, se transforme en piste et nous agite gaiement dans tous les sens... Ô désespoir...
Nous arrivons épuisés, physiquement et psychologiquement, à Rurrenabaque au petit matin. Heureusement, ce trajet connu pour prendre souvent près de 24h à cause des pannes ou circonstances environnementales n'aura pris que 17h. Miracle !!!
Nous sommes attendus à la gare par plusieurs propriétaires de logements en quête de touristes. Le premier nous fait une offre qui nous semble correcte, comprenant un petit déjeuné soi-disant réputé dans toute la ville. On embarque, trop épuisés pour jouer à comparer/négocier avec les autres.
Et ce fut un bon choix ! L'auberge, tenue par une petite famille, est fort sympathique ! Située au bord de la rivière, nous pouvons y regarder les allées et venues des barges, ou nous reposer dans les hamacs.
La famille héberge également quelques bestioles à plumes plus ou moins timides.
Après nous être reposés un peu, nous partons à la recherche d'informations sur ce que nous voulons faire : visiter la jungle et les pampas. Et c'est ainsi que nous tombons sur Alex ! Alex tient une agence de voyage proposant des tours dans les lieux qui nous intéressent. Nous proposant des activités attrayantes et des tarifs plus que corrects d'après nos sources, nous nous engageons auprès de lui pour passer 4 jours dans la jungle en compagnie de son frère, Choco. Et comme nous sommes des aventuriers confirmés, on s'engage en "semi-survivor," à savoir qu'on part avec quelques rations de secours mais que nous sommes sensés trouver notre nourriture par nous-même et dormir dans des camps de fortune au cœur de la jungle.
Pour sceller l'accord, Alex nous offre une Caïpirina dans un des bars de la ville où nous nous laissons également tenter par un deuxième cocktail !
Le lendemain, nous débutons la journée avec le réputé petit déjeuner de notre auberge : deux énormes pancakes recouverts de chocolat ou confiture de lait, avec une sélection de fruits dont deux bananes ! Un délice qui nous occupera plus d'une demi-heure, tellement la quantité est astronomique pour nous qui ne sommes plus habitués à déjeuner le matin.
Nous rencontrons Choco à 9h, légèrement en retard sur le planning à cause du petit déjeuner. Il fait le point sur ce que nous comptons amener : anti moustique, crème solaire... Mais nous n'avons pas de vêtement à manches longues ! Il nous envoie alors faire un tour au marché tandis qu'il attend le reste du groupe.
Lorsque nous le retrouvons, il nous donne nos moustiquaires, couvertures et tapis de sol avant de nous ramener au marché acheter cigarettes, feuilles de coca et un bout de liane séchée pour la cérémonie rituelle à la Pachamama. Nous embarquons ensuite dans une pirogue motorisée pour 3h de navigation en compagnie d'un autre groupe composé de 2 québécois, et d'une française ayant fait la même école d'ingénieur que Lucy au même moment !
Au cours de la navigation, nous faisons un premier arrêt pour acheter le billet d'entrée au parc, puis un 2ème arrêt dans une petite communauté dont on nous explique rapidement le mode de vie et où on nous présente quelques fruits locaux avant de nous mettre au travail !
Nous pressons donc un peu de canne à sucre afin de pouvoir profiter de son jus !
Sur la dernière partie du trajet en pirogue, nous voyons également notre premier alligator tranquillement posé sur la berge...
... juste avant de tomber en panne d'essence ! Et de nous échouer tandis que le "pilote" change de bidon... Les guides sont mis à contribution, pieds dans l'eau, pour nous sortir de ce mauvais pas avant que le courant ne nous mette en travers et ne nous retourne. Sauvés, nous atteignons peu de temps après notre destination.
Le camp principal dans lequel nous débarquons est rudimentaire, mais comporte cuisine et dortoirs. Nous n'y restons cependant que le temps d'un repas (et de tirer un peu à l'arc) avant de nous mettre un route pour un camp situé au milieu de la jungle, à côté d'un lac.
Cette première excursion dans la jungle sera l'occasion de notre premier cours sur les plantes. Nous apprendrons ainsi notamment à reconnaître une plante servant de remède à la sinusite, avec une forte odeur ressemblant au Vics ou au baume du Tigre, et qui permet également de chasser les moustiques ! Lucy en promènera un échantillon avec elle jusqu'au camp, espérant ainsi ne pas trop se faire dévorer !
Nous arrivons à notre camp à la tombée de la nuit.
Après avoir installé nos moustiquaires et mis en place des bâches, nous nous installons à proximité du feu pour faire une cérémonie en l'honneur de la Pachamama afin de lui demander de veiller sur nous et de nous permettre de voir plein de jolies choses !
La cérémonie consiste à creuser un petit trou dans la terre, d'y mettre chacun à son tour des feuilles de coca, des morceaux de liane servant de catalyseur pour la coca, un peu d'alcool potable et de planter à côté une cigarette allumée sur laquelle il faut avoir tiré une taffe. La façon dont la cigarette brûle indique si l'offrande a été acceptée ou si l'on risque d'avoir quelques ennuis... Et forcément, Lucy n'a pas su allumer correctement sa cigarette et celle-ci ne se consume pas !! Mauvais signe... Au cas où, notre guide fait brûler une clope supplémentaire qui, elle, brûle bien ! Rassuré mais pas totalement serein, il dit qu'il gardera un œil sur Lucy au cas où.
La nuit se passe sans encombres, le chant des grenouilles nous rappelant la Martinique. Seuls les cris impressionnants des singes hurleurs nous réveillent de temps à autre.
Le matin suivant, après une infusion de feuilles de citronnier trouvées à proximité du camp et quelques biscuits...
... nous nous mettons en quête de notre prochain repas : des piranhas !!!
Heureusement pour nous, Ève, la québécoise qui nous accompagne, arrive à en pêcher pas mal et à les garder hors de l'eau après la pêche. Emile aussi en sort pas mal, mais lui ou Choco arrivent à les remettre à l'eau involontairement à chaque fois ou presque !!!
Nous les faisons cuire en papillote avec quelques feuilles et le résultat est plutôt pas mal !!
L'après-midi, nous repartons, cette fois en direction de la rivière. À la demande d'Émile, Choco nous fait quitter le sentier et nous perd dans la forêt tout en poursuivant un troupeau de phacochères... Nous nous retrouvons ainsi dans une zone marécageuse, avec des cochons sauvages qui se mettent à courir tout autour de nous ! C'est impressionnant, voire même effrayant quand, à peine quelques minutes avant, notre guide nous dit de laisser tomber nos sacs et de grimper dans un arbre à 2 m de haut si on se fait charger ! Heureusement, les bêtes préfèrent nous éviter !
Peu de temps après, Choco taille une immense liane de 8 cm de diamètre, à laquelle nous nous abreuvons : pour 1,50 m de liane nous buvons longuement à 4, récoltant près 1,5 L d'eau naturellement filtrée !
En arrivant à la zone de camp, nous avons tellement chaud que nous nous jetons dans la rivière à quelques mètres de là... Pour certains, ça finiras même en bataille de boue !
En plus des bâches et moustiquaires à mettre en place, nous couvrons également le sol de feuilles, tant pour le confort que pour éviter d'être dérangés par les petites bêtes.
Le camp prêt, nous retentons un peu de pêche, mais rien ne mord...
Le lendemain matin, la ligne de pèche n'est plus là. Choco en conclu que nous avons fait une prise, elle-même ayant servit d'appât à un alligator, seul animal capable de rompre la ligne dans la rivière.
Il nous informe par ailleurs qu'il a très peu dormi, un jaguar ayant tourné autour du camp toute la nuit faute de feu (une averse ne nous ayant pas permis d'en entretenir un plus longtemps que le temps nécessaire à cuire quelques patates de nos rations).
Il a donc dû régulièrement sortir faire du bruit pour tenir le prédateur éloigné.
Pour le petit déjeuner, nous taillons des tasses de bambou que nous utilisons pour faire chauffer et boire une infusion de plantes récupérées la veille.
Choco en profite également pour tresser une branche de palmier en "porte-bouteille". Il nous a fallu pas mal insister pour qu'il accepte de le faire (l'artisanat n'est pas son truc), et il le fait à l'arrache sans nous expliquer comment faire. Dommage.
Au cours de notre balade de la journée, nous continuons notre apprentissage des plantes, jouons un peu avec des lianes et en collectons un type précis que nous utiliserons pour construire un radeau ! En effet, pour rentrer, nous devons construire une embarcation de fortune et descendre la rivière à bord pour rejoindre le camp de base.
Nous arrivons en milieu de journée à notre ultime camp, au bord d'une lagune, où nous nous installons et faisons un gros repas avec nos dernières rations. N'ayant rien pêché depuis 2 jours, nous sommes affamés.
Choco en profite pour nous dire que c'est son anniversaire ! Mais bon, on ne peut pas vraiment fêter ça correctement sans nourriture ni quoi que se soit d'autre au milieu de la jungle...
Nous allons ensuite en quête de larves de bambou, pour nous en servir d'appât... ou de repas... malheureusement nous n'en trouvons qu'une seule, et le poisson l'ayant gobé n'a pas accroché à l'hameçon...
Quelques bestioles croisées au cours de nos balades
En début d'après-midi, une pirogue venue du camp de base nous livre le bois pour le radeau : nous sommes dans un parc national, interdiction de couper des arbres !
Nous débitons seulement quelques arbustes pour construire une plateforme sur le radeau, sensée tenir nos sacs au sec. On accroche tout ça avec quelques cordes et les lianes récoltées plus tôt, on taille quelques longs bambous qui nous servirons à diriger l'embarcation, et ça flotte, donc c'est prêt !
Finalement, faire un radeau, c'est pas si compliqué. Toute la difficulté réside dans les paramètres extérieurs, à savoir : les SALOPERIES de Sand-flies, ou mouche des sables / maringouins en français.
Ces petites bêtes sont la plus grosse plaie de la jungle ! Et pourtant on a vu des moustiques, des "bestioles" rampantes, grouillantes, pas jolies ou pas sympa durant ces 3 jours... mais les sand-flies.... le fléau ultime ! C'est plus petit qu'un moustique, et donc pas facile à écraser... et ça se promène en bande... que dis-je... en NUAGE !
Pendant 3h, nous avons travaillé à la construction du radeau dans un nuage mordant, affamé de notre sang.
Dès que ça a été possible, nous nous sommes tous jetés à l'eau pour finir la construction du radeau en ayant au moins la moitié du corps à l'abri dans l'eau.
A l'issue de l'épreuve, nous étions plus marqués que par une vilaine rougeole.
À noter, et grâce au retard que nous avons pris sur le blog, plus d'un mois après cette traumatisante expérience, nous avons encore quelques marques des piqûres de ces petites saloperies.
Croyez-nous, la jungle c'est éprouvant, mais ÇA, c'est LA raison pour laquelle nous n'avons pas vraiment envie d'y remettre les pieds...
Bref ! Radeau terminé, nous quittons la plage et ses dangers pour nous abriter du soleil et des sand-flies sous le couvert de la dense forêt amazonienne. Un vrai délice de retrouver cette zone hostile mais pas tant vis à vis des berges de la rivière.
Nous prenons un peu de repos tandis que la nuit tombe, et dans l'espoir de manger quelque chose, Choco attrape et découpe une grosse grenouille pour faire de nouveaux appâts de pêche. En vain... Emile, le seul à avoir encore le courage d'essayer d'attraper quelque chose, s'obstine un moment, mais rien ne mord...
La nuit tombée, les sand-flies désertent la plage... Nous y retournons donc pour observer les étoiles. Sans pollution lumineuse, le spectacle est magnifique ! On voit parfaitement la voie lactée et quelques constellations. Faute de repas, nous sirotons à tour de rôle la fin de l'alcool potable qui titre 90°… sans omettre d'en renverser un bouchon de temps à autre pour la Pachamama. Choco nous raconte alors quelques contes et légendes de la forêt, sur les bons et mauvais esprits, la naissance des saisons, et nous restons là à profiter du ciel et des histoires jusqu'à ce que l'alcool et le sommeil nous poussent à rejoindre nos couchages.
Dernière journée dans la jungle !
On se lève au petit matin, levons le camp, rejoignons le radeau où nous emballons bien les sacs dans une bâche, le tout fixé sur la plateforme surélevée, et on embarque en vitesse avant que les sand-flies ne nous dévorent totalement.
Capitaine Choco est à l'arrière, Émile à l'avant, les filles tranquillement assises au milieu. Les hommes sont donc chargés de gérer la direction à coups de bambous, tantôt en poussant au fond quand on peut, tantôt en pagayant comme des tarés...
Émile est mauvais à ce jeu. Le courant est très fort et il y a énormément de débris (troncs) dans l'eau, tant et si bien qu'après 10 minutes, il est épuisé, et n'arrive pas à nous faire esquiver un arbre vers lequel le courant nous pousse. Et paff !! Nous heurtons l'arbre ! Le radeau tient le coup. Par miracle, les sacs sur la plateforme aussi. Choco et Ève passent à l'eau !
Émile est mauvais à ce jeu. Le courant est très fort et il y a énormément de débris (troncs) dans l'eau, tant et si bien qu'après 10 minutes, il est épuisé, et n'arrive pas à nous faire esquiver un arbre vers lequel le courant nous pousse. Et paff !! Nous heurtons l'arbre ! Le radeau tient le coup. Par miracle, les sacs sur la plateforme aussi. Choco et Ève passent à l'eau !
Heureusement, ils ne sont pas blessés et ont vite fait de remonter à bord. On n'est pas passé loin du drame !
Émile est relevé de ses fonctions au profit d'Ève qui a de bien meilleures compétences de navigatrice en eaux vives.
Un peu plus tard, Lucy relève Choco.
Et le courant se calme un peu, les obstacles s'espacent, et les hommes font quasiment la sieste tandis que les femmes mènent l'embarcation.
Nous nous relayons quelques fois, et Émile et Choco sont de nouveau aux commandes lorsque nous atteignons le camp de base.
La manœuvre pour rejoindre la rive fût difficile, mais nous nous en tirons sans nouvelle chute !
Le radeau amarré, nous déchargeons les sacs et le démontons intégralement. Le bois sera livré plus tard à un autre groupe.
Le courant ayant été particulièrement fort, nous sommes arrivés avec près d'une heure d'avance sur le timing habituel, et mettons ce temps à profit pour faire un brin de lessive dans la rivière.
Nous profitons ensuite des réserves du camp de base pour nous faire à manger (les derniers repas ayant été très frugaux), en papotant avec les autres groupes présents (partis plus tôt pour l'un, arrivés la veille pour d'autres).
La pirogue arrive en début d'après midi avec un nouveau groupe. Tandis que Choco repart avec pour livrer le bois du radeau au prochain groupe, un autre guide nous montre comment faire des bagues à partir de petites noix que nous avions ramassées dans la jungle (Choco nous avait promis de nous apprendre, on a donc trouvé un substitut en son absence).
Quelques coups de scie, et nous débitons des anneaux dans les noix. On les vide ensuite au couteau, affinons les angles, on ponce avec du papier de verre, et on lustre à la cendre ! Simple comme bonjour, mais terriblement chronophage.
Au retour de la pirogue, on embarque pour le retour à Rurrenabaque.
Choco s'excuse de n'avoir pas eu le temps de nous montrer comment faire les bagues, et est assez surpris quand on lui montre le fruit de notre travail. Il sort alors 3 superbes bagues qu'il avait déjà préparées et nous les offre. Merci Choco !
De retour à Rurrenabaque, nous passons rendre le matériel à l'agence. Alex nous offre alors de nouveaux bons pour des cocktails gratuits, nous invitant à aller boire un coup ce soir avec Choco pour son anniversaire !
Nous rentrons prendre quelques heures de repos à l'auberge... et surtout une BONNE DOUCHE !!! Et ça fait du bien !! C'est aussi l'occasion de faire le point sur les dégâts causés par les saloperies volantes... arghhh !
En début de soirée, nous rejoignons Choco et Ève à l'agence. Alors que le groupe s'éloigne en direction du bar, Alex me prend à part pour nous inviter en secret à la fête d'anniversaire de Choco, à la maison familiale.
Nous buvons donc quelques coups au bar, puis faisons un tour de moto-taxi pour nous rendre chez les parents de Choco où nous sommes chaleureusement accueillis. Nous partageons un repas simple mais délicieux et le gâteau d'anniversaire. Après le repas, nous ne partageons pas les bières. Ici, chacun a droit à SA bouteille... de 1L !
On discute longuement, et écoutons les histoires du père de famille, lui-même guide, ayant vécu des centaines d'aventures passionnantes au cœur de la jungle.
En fin de soirée, nous rentrons tous à pieds par les petits chemins et nous séparons devant notre auberge. Nous sommes épuisés, et la nuit va être courte ! Demain matin, RDV à 7h30 à l'agence pour notre deuxième excursion... la Pampa !
hé hé... c'est Lucy qui sait pas fumer mais c'est Eve qui tombe à l'eau !
RépondreSupprimerOh la triche! Meme pas besoin de couper les bambous pour le radeau! Trop facile la construction! Oh vous m'avez déçue!
RépondreSupprimerAh ben la poisse a eu Lucy... avec le ver macaque ! (enfin si c'est bien dans la forêt qu'elle l'a chopé...) !
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